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 It's all 'bout the Kansas City Shuffle • Luke H. Parker

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Luke H. Parker
Luke H. Parker
jetons : 31
feat. : Ginoza Nobuchika
liens utiles : Story of my life ••• Come out and play ••• No News, Good News
pouvoir : Annulation
citation : When everyone else looks right, you move left. That is what a Kansas City Shuffle is.
jukebox : Blue Suede Shoes - Elvis Presley
crédit : © Meriveri

employé(e) d'érèbe
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It's all 'bout the Kansas City Shuffle • Luke H. Parker rédigé Jeu 14 Mai - 20:24


Luke H. Parker
―― informations basiques ――
——— attaque ———
★★★★★★★★★★



——— défense ———
★★★★★★★★★★



——— popularité ———
★★★★★★★★★★



——— controle ———
★★★★★★★★★★
NOM - Parker
PRÉNOM - Luke, Hyde
SURNOM - Fox
AGE - 22 ans
NÉ(E) LE – 09/06/1942 à Livingston
NATIONALITÉ - Américaine
ORIENTATION SEXUELLE – Hétérosexuel
SITUATION FINANCIÈRE – Juste ce qu’il faut pour vivre et s’amuser
SITUATION MARITALE - Relation Ambiguë avec Sully L. Felton
GROUPE DESIRE – Erebe, mais je suis ouvert à toute proposition, mes services sont à vendre.
RÔLE/POSTE/METIER - Homme à tout faire / Protégé, disciple d’un grand / Bartender, Croupier.
Il apprend vite, il est très habile de ses mains, et manie les mots aussi bien que son arme. Il sait se montrer persuasif. Il voit une place de libre il s’immisce et se montre à la hauteur. C’est comme ça qu’il a fini comme Bartender dans un lieu aussi classe qu’un des casinos d’Erebe. Et c’est comme ça qu’il est occasionnellement croupier dans les parties impliquant de l’hydre. Pour éviter que ça dégénère on fait appelle à Luke, il a cette aura qui apaise l’atmosphère grâce à son éloquence et son pouvoir. Pour tout ce qui est opération délicate on fait appel à lui. Il est fin observateur et il sait lire les gens, il sait quand tout est sur le point d’exploser ou quand ce n’est que du bluff. C’est lui qui évite que ça parte en vrille.
Il a envie d’être remarqué et d’être pris sous l’aile d’un boss, un vrai, il veut que l’on voit en lui un digne successeur.


POUVOIR - Annulation
DESCRIPTION - « Fox, tu vas me le payer tu ne sais pas à qui tu as faire ! Je vais te crever, tout va partir en cendre, toi et ton bar ! Pourriture ! » … Il sort son briquet, la flamme vacille… Mais rien, juste la respiration haletant de notre pyroman… Il semble perplexe, paniqué, mais pourquoi la flamme ne se plie pas à sa volonté ? Tout simplement parce que Luke est là. Aucun don n’a effet aux alentours de Fox. Vous pouvez vous téléporter prêt de lui, mais n’imaginez pas une seconde que vous pouvez partir. Vous êtes coincé avec lui. Il profite de l'effet de surprise pour mettre K.O. son adversaire.
Bref vous l’aurez compris, il peut annuler tous les pouvoirs autour de lui. Les semaines suivant la prise de l’hydre il est plus puissant et les gens qui se sont approchés de lui voient leurs pouvoirs affaiblis pendant quelques heures.

FRÉQUENCE DE PRISE DE L'HYDRE - Il n’est pas du genre dépendant, il se maîtrise, mais il évite de prendre « cette merde », le plus possible. Pour conserver son pouvoir il doit en prendre une à deux fois par an.
―― qui suis-je ――
HISTOIREBorned in Livingston, yeah in Texas. Hell borned, and raised there.  
Je suis né dans une ferme à Livingston au Texas, loin de Dallas, ou d’Austin, au bord de la Trinity River, entre champs et forêt. J’ai toujours aimé la nature.
J’ai grandi dans un ferme, en plus d’y travailler, j’étudiais et j’étais vraiment bon, j’ai toujours été passionné par les sciences, la physique qui m’aidait à comprendre le bricolage, la biologie sur le travail à la ferme, la culture du blé ou les animaux. Bref, j’adorais ça. Mais ça ne me suffisait pas, c’était une vie trop simple, trop facile. Ce n’était pas un challenge à ma taille. J’ai toujours su que je valais mieux que ça, ce n’est pas un travail ingrat non loin de là, mais… J’étais promis à de grandes choses, je le savais c’était là au plus profond de moi, mes parents aussi le savaient, ils savaient qu’ils ne pourront rien faire pour me retenir à la ferme, et ils ne comptaient rien faire.
Il y avait cette fille qui vivait dans la ferme la plus proche, on a grandi ensemble. Sully Felton. On a grandi ensemble, on passait nos après-midi cachés dans les champs. Un amour d’enfance, ceux qu’on n’oublie pas… Ceux qu’on ne peut oublier.
On avait 8 ans quand elle est partie, ses parents ont divorcé, sa mère est partie je ne sais où et son père est parti à Seattle en emmenant Sully loin de moi.


Parkers' Farm - Livingston - Texas - 1950


Au milieu du champ de maïs, cachés, loin de tout, rien qu’elle et moi, et mon chapeau trop grand pour moi. Je m’entêtais à la porter, c’était celui de mon grand-père. La rouquine avec moi, c’était elle… Sully Felton. Pendant qu’elle attachait des coquelicots dans ses cheveux, je pris mon courage à deux mains pour confirmer mes craintes…
- Mon père m’a dit que ta mère était partie, lançai-je timidement après avoir longuement réfléchi aux mots employés
- Il a raison, répliqua-t-elle pour briser le silence qui s’était installé
- Elle ne l’aime plus ? lui demandai-je sans détour
- Non, elle est partie, répondit-elle mal à l’aise
Le divorce est un sujet tabou ici, et je n’aimais pas me mêler de ce qui ne me regardait pas, mais elle, elle comptait pour moi. Un nouveau silence, un de ces silences qui en dit long. Une femme qui part avec un homme de la ville de passage dans le coin, c’est mal vu, elle quitte son mari et ses enfants pour quoi ? La belle vie en ville ? Surtout qu’ici on est croyant, on voit tout le village à la messe. Le mariage c’est sacré.
- Moi, je ne partirais pas, lui assurais-je tout en détournant le regard, embarrassé, Jamais. Je resterais avec toi !
Sully arrêta de jouer avec ses cheveux et me regarda, Elle ne pouvait s’empêcher de sourire, alors elle cacha ses lèvres sous ses tresses, je lui souriais en retour. J’ai toujours été là pour elle, même quand elle m’insultait et me jetait tout ce qui était à portée de main pour que je la laisse pleurer seule. Je n’ai jamais cédé, contrairement à mon arcade sourcilière, un fer à cheval, ça ne pardonne pas.
- Tu promets ? On restera toujours ensemble ? me chuchota-elle, toujours cachée derrière ses tresses.
- Promis ! lui répondis-je d’un air sûr et décidé.


Parkers' Farm - Livingston - Texas - 1954


A mes 12 ans, je montais à cheval et je gérais le bétail, il m’arrivait de conduire le tracteur à la place de mon père quand il était malade. Mais 12 ans… c’est aussi l’âge que j’avais quand Sully est partie avec son père vivre à Seattle, je savais qu’elle allait partir. Mais pas comme ça, pas aussi vite… Je l’ai mal vécu mais j’ai fait avec, on s’écrivait le plus souvent possible.


Parkers' Farm - Livingston - Texas - 1957


Mais… ce n’était pas pareil, c’était lourd, si proche mais si loin, la frustration était de moins en moins supportable, j’avais l’impression de lui faire perdre son temps. Je pris mon courage à deux mains et je lui écrivis ma dernière lettre… « […] Tu perds ton temps avec moi… Je ne suis qu’un bouseux, tu sais très bien comment est vu le Texas d’ailleurs. Tu t’emprisonnes avec moi. Vis, fréquente des gens de la ville, grandis, expérimente, découvre. Ne reste pas coincé dans le passé. Tu t’empêches de vivre, c’est ma faute et ça je ne me le pardonnerai jamais. On est à 4000 kilomètres l’un de l’autre... Arrêtons de rêver… Grandissons… Peut-être qu’un jour je serai digne de toi, et je te livrerai tout une ville sur un plateau d’or. Mais pour le moment tout ce que je peux t’offrir c’est des hectares de boue, de poussière et d’engrais. […] », j’ai eu tout ce que je méritais pour réponse, une grande feuille blanche avec inscrit en gros « FUCK », en ouvrant l’enveloppe, j’ai ris, j’ai ris longuement, avant de fondre en larme comme une merde. Le K a bavé sur la feuille à cause de mes larmes, je n’ai jamais quitté cette lettre. Elle est toujours dans ma poche.


On the road to Houston - Texas - 1958


Ce qui ne m’a pas empêché de grandir, à mes 16 ans, je prenais le pick-up de mon père et j’allais en ville pour vendre nos produits aux habitants, en plus des distributeurs. C’est là que j’ai appris à lire les gens, la psychologie, comme les toucher, les atteindre, les comprendre.
J’étais un excellent vendeur, les gens m’adoraient, un garçon bien bâti, plutôt mignon, propre sur lui, vif d’esprit et beau parleur, ils m’adoraient. J’étais populaire auprès des filles, le jeune fermier viril, aussi bon avec un marteau qu’un stylo entre ses mains, j’étais premier en cours.
J’avais sauté une classe, la fin du lycée c’était 16 ans pour moi, j’avais travaillé dur dans le but de recevoir des offres de bourses, je songeais sérieusement à aller étudier dans une université privée…
Mais… ça restait cher, et je devais rester avec mes parents les aider… J’ai trouvé un compromis… Je suis allé étudier la chimie et la biologie à Houston, j’y allais avec mon pickup, une heure de route à l’aller et une heure de route le soir. Au début c’était compliqué, me lever encore plus tôt pour faire mon travail à la ferme avant d’aller à Houston, rentrer un peu tard et étudier, mais j’ai vite trouvé un équilibre. J’étais populaire à la fac, gentil serviable malin, j’étais l’ami à avoir. Je me suis vite intégrer, je savais faire ça, observer, apprendre et me fondre dans la masse. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, même si chaque année à la même date, je contemplais pendant des heures cette lettre avec cet énorme inscription remplie de rage et de colère. « FUCK ». Elle me manquait, mais elle m’a sûrement oublié.

On the road to Livingston - Texas - 1962


Depuis quelques mois des ordures de la ville tournent autour des fermes de Livingston ils veulent les racheter. Avec l’explosion de l’industrie et les révolutions techniques que nous vivons, ils se propagent comme la peste, écrasant les pauvres paysans sur leurs chemins.
Mes parents ont gentiment déclinés toutes leurs offres. Les acheteurs se montraient de moins en moins amicaux, de moins en moins patient. Ce qui devait arriver arriva. Je roulais à fond, 160 km/h, sur ma pauvre petite Ford F-100, en direction de Livingston, pourquoi ?
Un coup de fil de ma mère, inquiète. « Ils sont revenus, ton père est parti les voir… Je vais le rejoindre. Viens-vite s’il te plaît. » J’avais fait le chemin en trente minutes. J’arrive, il y a des voitures de police sur la route, de la fumée… La grange avait brulé… mes parents avec, d’après la police ils étaient déjà morts avant… Je n’y croyais pas… On savait tous ce qui s’était passé… Mais aucune preuve…
Quelque chose s’est brisée en moi ce jour-là… Une putain de claque dans la gueule, tout allait pour le mieux, quand soudainement, tu tombes de haut, de si haut, et la chute est si… putain de douloureuse… Qu’auriez-vous fait à ma place ?
La police quitta la ferme me laissant seul… Je ne venais d’avoir mon diplôme… Je devais rentrer et prendre le relais… Mais non… Mes plans venaient de changer.
Je pris une profonde inspiration, j’enfonçai mon chapeau sur mon crâne, et je rentrai dans la maison… Et je triais les affaires de mes parents, je devais préparer mon départ… Je ne pouvais pas rester là où mes parents ont été tués… Mais je ne pouvais laisser leur mort impunie.

Je lançais le gramophone, Preservation Hall Jazz Band, St. James Infirmary, une chanson populaire, appartenant au folklore américain, elle racontait l’histoire d’un soldait qui gaspille toutes ses économies en alcool et en prostituées, et finit au St. James Infirmary pour y mourir d’une maladie vénérienne.
Je rigolais amèrement en me disant que je ne finirai pas comme ça.
Le lendemain aux aurores je déposais toutes les affaires de mes parents dans un entrepôt à Houston, je ne gardais que le couteau et la guitare de mon père, quelques vêtements, une photo pliée dans mon portefeuille et la montre à gousset que ma mère avait offert à mon père.

Tout c’était passé si vite, j’organisais les obsèques de mes parents une semaine plus tard, la ferme était vide, mes parents étaient enterrés côte à côté dans le cimetière de la ville. Une dernière halte à la maison, vérifié que tout était vide…
Une voiture devant le portail m’attendait, c’était eux. Ils me proposèrent d’acheter la ferme au prix fort, et en cash, parce que vous voyez un jeune homme récemment orphelin qui sort de l’université, qui n’a jamais vu le monde, allait avoir besoin de voyager, de grandir sur la route avant de se poser…
Tout se passait bien avant qu’il n’insulte la terre où j’ai grandis, l’homme qui l’accompagnait, un garde du corps qui se faisait passer pour un associé n’avait rien vu venir. Je pris l’arme qui se trouvait dans le dos de son patron et je lui tirai dans la jambe, le genou. Au Texas on apprend à tirer avant de marcher.
Un demi-million de dollar pour la ferme, les champs, et la vie de mes parents ? Il pensait qu’il allait s’en tirer aussi facilement.
Je tremblais, l’adrénaline coulait  à flot dans mes veines, je tirai aussi dans le genou gauche du “boss“ il boitera en pensant à moi jusqu’à la fin de ses jours. Je le fis s’agenouiller face au capot de sa voiture. Je lui demandai poliment de poser ses mains sur le capot, et je lui demandai un chiffre entre un et 10. Il me donna le sept. Je posai le canon de son pistolet à la base de son septième doigt en partant de la gauche : l’index droit, et je tirai, il hurla encore plus fort que quand j’avais tiré sur son genou. Avec la crosse de son arme je lui assénai un coup sec à la base du crâne. Il tomba sur le coup, je pris la mallette remplie d’argent et je pris la route pour quitter Livingston à tout jamais.


On the road to Las Vegas – Arizona - 1962


Je prenais mon temps pour aller à Las Vegas, je m’arrêtais en route, dans des fermes principalement, je dormais dans les granges en échange de petits boulot et autres services. Entre fermiers on s’entraidait.
J’ai passé pas mal de temps en Arizona, j’y ai vendu le pick-up de mon père contre une Citroën DS cabriolet accidentée à la casse du coin. Un français en vacances qui avaient trop bu, je suppose. Je restais un petit mois dans le coin le temps de la retaper, je faisais des petits jobs à droite à gauche, de la plomberie, de la mécanique sur voiture ou tracteur, je réinstallais des haies sur des kilomètres, des trucs comme ça qui rapportent un peu. Je m’étais promis de ne pas toucher à l’argent sale que l’on m’avait donné, il dormait à la banque. Je le réservais pour quelque chose de plus grand.

Las Vegas Babe – Nevada - 1963


Bel homme à tout faire, fin observateur, beau parleur et bon manipulateur, je vis des débuts pas trop compliqués à Vegas. Entre usurpations d’identité, et vol de portefeuille pour se payer la nuit au motel. Je sais parler, Je sais me vendre, Je suis habile.
Je fais des spectacles dans la rue, des petits tours de passe-passe, je joue les pickpockets au moment de faire tourner le chapeau dans la foule. Je fais de la musique dans les bars le soir contre un peu d’argent. Je vis tranquillement ainsi pendant quelques mois. L’euphorie du tout début, les joies de l’inconnu. Advienne que pourra.

J’ai commençé à faire du repérage, je joue les rigolos, mais je travaille, je regarde et j’apprends. Lui-là, qui s’est arrêté pour me voir jouer avec mes cartes, il semble important, ses vêtements, ses bijoux, son escort-girl. Que fait-il dans la vie? Ou elle au bras de ce minable ?
I’m a smartass who learns fast.
Je me fais embaucher comme bartender, au début dans des lieux peu recommandable, mais Je viens du Texas, on peut être premier de la classe tout en restant badass, besoin de vous rappeler ce mec sans index qui boîte ?
J’ai rapidement appris à maîtriser les recettes de cocktail, mais les gangsters sont des durs, laissons les daïquiris fraises aux femmes, nos hommes veulent du whisky bon sang !
Je me fonds dans l’ambiance, m’adapte, observe, écoute, et surtout, je délie les langues. Le barman c’est un peu un psy mais en plus cool. Je m’attire la sympathie de plusieurs gangsters de tout horizon. Vous savez ces connaissances pour qui on s’éprend de sympathie, ces gens qu’on aime bien croisé qui nous font dire « Putain, ça fait plaisir de te voir ! », Fox, moi quoi, est l’un de ces types qui fait putain de plaisir à voir.

« Hé psscht ! Fox, vient par-là ! Ecoute-moi fiston ! J’ai un ami qui cherche quelqu’un pour tenir le bar dans son casino, c’est un truc chic, rien à voir avec ce trou rempli d’ivrogne. Il a besoin de quelqu’un de fiable, un homme de confiance, je me suis dit que… ça pourrait t’intéresser. »
Erebe. Un pas de plus vers les gangs. J’espère me faire remarquer, avoir une occasion de faire mes preuves, monter en grade. J’en veux.
Deux ou trois bons conseils, les oreilles qui traînent, des commentaires habillement placés. Il se fait vite remarquer comme un bon élément.
Mais ce que je désire c’est être le boss. Je sais que j’ai ça en moi, je sais que j’en ai les capacités. Ça me prendra du temps mais j’y arriverai.  



MORAL -
A première vu je suis calme et pas vraiment menaçant, si on creuse on peut y trouver deux choses différentes : Un mec souriant et chaleureux, ou un gars encore plus froid.
J’ai conscience que j’évolue dans un monde sans pitié, c’est marche ou crève. Je suis bienveillant, mais je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises.
Mon but ? Reigner sur Vegas, je sais que je vais sûrement mettre une dizaine d’année pour y arriver mais, je suis patient.
Je suis calme et réfléchi, je sais lire les gens comme on lit un livre. Je suis empathique, je peux les cerner, eux, leurs pensées, et leurs intentions. Et j’agis en conséquence, je suis un menteur hors-pair.

J’ai la capacité de prendre du recul et de me montrer objectif, de mettre mes sentiments de côté et de voir une situation dans sa globalité. Je réfléchis avant d’agir.
Quand je dois faire le show, je suis chaleureux souriant et extravertis, mais ça m’épuise, je suis introvertis et pudique. Jouer des rôles comme ça c’est fatiguant. Mais je continue de le faire.
Je suis très habile avec les chiffres, et de mes mains. J’étais aussi assidu à la ferme qu’à l’école donc forcément…

Je ne bois pas, je ne fume pas, je fais tout pour rester en bonne santé, je fais du sport également. Mais bon dans certains lieux, être le seul à ne pas boire ou à ne pas fumer peut paraitre suspect. Donc vous me verrez sûrement avec un verre en main ou un cigare en main, mais c’est occasionnel.
Je suis bon aux jeux de cartes, notamment, le poker, je sais tricher mais je n’aime pas trop faire ça, sauf quand la victoire est très importante que je ne suis pas sûr de mon coup. Je ne paris que lorsque je suis sûr à 100% de gagner.
J’ai un code moral stricte, trop stricte, c’est handicapant dans ce milieu, je culpabilise facilement de ce que je peux faire, j’essaie de rester sur le droit chemin quand ça implique des innocents… Un gangster avec des principes… Je suis une blague.
J’ai une faible estime de moi, je doute facilement de mes capacités. Je préfère cacher mon jeu plutôt que d’afficher mes capacités, j’aime l’effet de surprise.
J’ai tendance à toujours imaginer le pire, ce qui me pousse à être super prudent, mais à mon niveau on frise à la paranoïa.

Je sais me battre, j'ai fais de la boxe au lycée et à l'université. Je sais encaisser et donner. Je sais aussi tirer, Texas for the win, et je suis plutôt bon cavalier... Et je cuisine bien aussi... Apprenez à faire un bon burger et vous pourrez travailler n'importe où aux Etats-Unis !

Je suis humble et discret, mon temps passé derrière le comptoir à fait de moi quelqu'un d'attentif, à l'écoute et de bon conseil. Je suis plutôt sage pour mon âge. Malgré mon désir de me faire remarquer par quelqu'un d'important, j'aime passer inaperçu, la discrétion, rien de mieux pour apprendre d'autrui.
J’inspire la confiance, je suis ce petit jeune qui en demande et qui vous fait penser à vous plus jeune, je suis ce gosse que l’on veut prendre sous son aile et le former pour qu’il évite de répéter vos erreurs. Je suis cet homme aux épaules larges sur lesquelles vous voulez poser votre héritage et dormir sur vos deux oreilles.



TAILLE - 1m85
POIDS - 80 Kg
CORPULENCE - Athlétique
CHEVEUX - Cheveux noirs
PEAU - Beige
YEUX - Verts
STYLE - Costume 3 pièces pour aller bosser, il aime les bretelles.
PARTICULARITÉ - Il porte toujours le chapeau que son grandpa’ lui a donné à ses  4 ans et le couteau de son père qui se transmet de père en fils. Jamais sans son .357 magnum qu’il a gagné au Texas Hold’Em.
feat. Ginoza Nobuchika; Psycho-Pass
feat. Shakey Graves

Miikzy, 20 ans, 21 le 9 juin. Mâle.
J’ai découvert le forum grâce à Léo qui m’a fait keaffer aussitôt. L’ambiance, l’année, le design. Je suis fan.
Hâte de pouvoir RP avec vous !


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Amélia Boehmitz
Amélia Boehmitz
jetons : 12
feat. : kagura de gintama
AUTRES COMPTES : léonard
liens utiles : www. prez
www. rs
www. lettres
pouvoir : négativité
citation : "Well, yeah, you could, yeah. You could do that, of course you could. But why ? Look at these people, these human beings. Consider their potential. From the day they arrive on the planet, blinking step into the sun. There is more to be seen than can ever be seen. More to do than... No, hold on. Sorry, that's the Lion King."
jukebox : Melanie Martinez — Hit the Road Jack
crédit : ©flynn

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Re: It's all 'bout the Kansas City Shuffle • Luke H. Parker rédigé Jeu 14 Mai - 20:33


SALUT TWA
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Sébastien Winchester
Sébastien Winchester
true men wear pink
jetons : 140
feat. : rivaille - shingeki no kyojin ; irl : erika linder
AUTRES COMPTES : stan weasley
liens utiles : www présentation ; www rs ; www boîtes aux lettres
pouvoir : aucun
citation : laugh and the world laughs with you, weep and you weep alone. ©old boy
jukebox : old boy - the last waltz
crédit : ©matt

fondateur - chef d'Atlas
fondateur - chef d'Atlas

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Re: It's all 'bout the Kansas City Shuffle • Luke H. Parker rédigé Jeu 14 Mai - 21:22


validation !
――félicitations ! ――

Alors j'ai complètement dévoré ta fiche. Je ne suis pas fan de la première personne mais c'est bien passé et j'adore l'histoire (avec ce fuck mon dieu ahah), très naturelle et pas trop dramatique, avec la musique en fond de Stevie Ray Vaughan aussi ♥ Bref tout est parfait, bon jeu !
(Je te valide donc pour Erebe mais si tu souhaites changer en cours de route c'est possible bien entendu)


Liens utiles :

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Re: It's all 'bout the Kansas City Shuffle • Luke H. Parker rédigé


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It's all 'bout the Kansas City Shuffle • Luke H. Parker

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