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 everything i do is bittersweet ღ flynn ; fini

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Flynn Rodriguez
Flynn Rodriguez
holas chicas
jetons : 171
feat. : kuroo testsurou
liens utiles : Tortillas
Guacamole
Tequilla
pouvoir : possession
citation : LATER HATERS
crédit : © seb

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everything i do is bittersweet ღ flynn ; fini rédigé Lun 27 Avr - 23:35


flynn rodriguez
you can count on me to misbehave
——— attaque ———
   ★★★✩✩✩✩✩✩✩


   
——— défense ———
   ★★★★★★✩✩✩✩


   
——— popularité ———
   ★★✩✩✩✩✩✩✩✩


   
——— controle ———
   ★★★★★★★★★★
NOM - Rodriguez
   PRÉNOM - Flynn Alejandro Luis
   SURNOM - Flash Brother
   AGE - Ving-et-un ans
   NÉ(E) LE - Dix-huit août
   NATIONALITÉ - Mexicain
   ORIENTATION SEXUELLE - Sa main droite
   SITUATION FINANCIÈRE - Modeste et endetté
   SITUATION MARITALE - Célibataire


   GROUPE DESIRE - Hélios
   RÔLE/POSTE/METIER - fournit des informations et est envoyé en infiltration, pas de rôle majeur au sein de l'organisation, on ne lui fait pas assez confiance pour ça.


   POUVOIR - Possession
   DESCRIPTION - Prendre possession du corps d'autrui, pour une durée de quelques heures grand maximum. Trois heures est sa limite absolue. Un pouvoir bien utile pour l'infiltration et qui devient un peu sa monnaie d'échange pour rester tolérable. Son corps d'origine devient vulnérable pendant la possession.
   FRÉQUENCE DE PRISE DE L'HYDRE - Pour une utilisation supérieur à quelques minutes reprendre une dose est nécessaire. Il le fait le moins possible car conscient des possibles effets secondaires.
All I ever wanted was the world
HISTOIRE - Tu te souviens des cris, Ash? Tu te souviens des bruits, petite sœur? Tu te souviens des hurlements de notre père ivre à peine compréhensibles, des éclats de verre, de notre mère qui pleure, qui ignore, qui ferme les yeux et fait silence. Tu te souviens de ce que je disais Ash? Quand je peignais mes plus faux sourires et te disais de rester dans le placard? Quand je te faisais mettre tes mains sur les oreilles, et quand tu avais peur, et quand je ne pouvais rien y faire. Te dire de compter jusqu'à cent. D'imaginer un beau souvenir, un repas festif. J'ai toujours menti, Ash, à toi plus qu'à tous les autres. Et tu as toujours vu au-delà de mes mensonges. « Tout va bien se passer », « mes bleus ne me font même pas mal ». C'était que des conneries tout ça, et tu le sais.
Ash, petite sœur, cendre du brasier mes larmes, si la vie était une partie de poker, on aurait commencé avec les mauvaises cartes.
 Quand nos parents nous ont donné des prénoms anglais, quand on a passé la frontière avec les autres, on nous avait promis richesse, espoir et vie meilleure. On voulait juste partir, juste changer de vie, commencer quelque chose de nouveau, avec toi, petit bourgeon de vie qui bavait sur mon épaule alors qu'on marchait. Ils ont presque réussi, nos parents. Ils ont eu un job, un appartement, on a failli être heureux. Et puis tout rêve a une fin, la nôtre est arrivée rapidement. La misère, spectre rampant, est revenue à nous, et il y a eu les sautes d'humeur, l'alcool et les deux se renforçaient l'un l'autre. Je voulais pas que tu entres dans l'équation Ash, c'est pour ça que j'ai fermé la porte du placard. J'ai pris sur moi, j'ai fermé les yeux, pendant des années, j'ai fais de mon mieux pour te convaincre que j'allais bien. Te faire croire qu'on pouvait être une famille normale, heureuse. Et quand tu voulais me prouver le contraire je niais, c'est si facile de nier. Et une petite fille de cinq ans ma cadette était plus courageuse que moi. C'était toi la plus lucide hermanitas.
 Ça aurait pu continuer encore plus d'années, Ash, si tu n'avais pas eu le courage de te découvrir les oreilles, d'arrêter le décompte jusqu'à cent, d'ouvrir les yeux et pousser la porte du placard. Si tu n'avais pas tendu tes petites mains d'enfant vers moi alors que le déchet d'humain qui nous servait de père m'agrippait par le col. Si il n'avait pas levé la main sur toi. Quel genre de moins que rien blesserait une petite fille de dix ans?
Oh, quoique, j'en serais moi-même capable. Je dois être de mauvais sang.
 Pour la première fois, au matin de cette nuit, je t'ai dis qu'on allait s'en sortir et je le pensais vraiment, alors que j'essuyais le mélange de sang et de larmes qui coulaient le long de ton nez. Alors j'ai volé, pour la première fois de ma vie, rangeant chaque dollar trouvé dans ma poche, pendant que tu faisais tes valises. Sans bruit, nous avons fermé ensemble cette porte pour la dernière fois, ta petite main dans la mienne, sans regret, emplis de peur face à l'indépendance. On était deux gamins en fugue, deux étrangers le long de la route, perdus dans un monde de lumière et de paillettes, de vice et de vide, de crocs et de mauvaises intentions. Je n'avais que quinze ans et en essayant de te sauver j'ai fais n'importe quoi, avec n'importe qui, parlé avec les mauvaises personnes, vendu mon âme et mon cœur et mes principes et mon argent. J'ai tout abandonné pour te garder en vie Ash. J'ai rejoins, un gang et j'ai pris de l'hydre. Je suis devenu un connard parce que je sais pas comment aimer les autres. Et je continuerai. Je mettrai feu à la ville et leurs crèverait les yeux pour que tu puisse respirer ne serait-ce qu'une seconde de plus. Et même dans un millier d'années je n'aurais aucun regret de l'avoir fait. Nous serons les rois de ce bois.

   
MORAL -  Il présente bien Flynn. Il présente bien lorsqu'il parle avec tout le monde, lance des piques comme le ferait un vieil ami, propose des coups à boire, jette des regards en biais, il rit fort et s'exprime avec élégance. Il est attachant, avec ses airs de jeune homme ambitieux, ses sourires narquois et son air de chien battu dès qu'on le remet à sa place. Il a l'air de quelqu'un qu'on pourrait aimer. Et il agit comme s'il était quelqu'un qu'on aime. Comme si on allait rire avec lui, comme si on allait lui taper dans le dos en lui lançant une boutade, petit prince régnant et adoré. Et pourtant, partout où il va les gens s'écartent d'un pas, répondent froidement, gardent leurs distances.
 Oh, personne n'a peur de Flynn, personne ne le craint vraiment, mais dieu qu'on s'en méfie. Car Flynn est de réputation de ne pas être ce que tout dans sa personne semble suggérer. De ne pas être digne de confiance. D'être une ordure. Alors on ignore les piques, on refuse les coups à boire, on détourne le regard, et son imperturbable sourire agace et son charisme exècre. Flynn est tricheur, menteur, traître, quelqu'un qui joue dans les deux camps et se retire quand ça l'arrange. Cela est vrai. Cela se sait. Alors on l'évite, on ne l'aime pas, ou on s'amuse à l'aimer dans une sorte d'amour tordu et vicieux qu'on aurait pour un diable. Et tout le dégoût, et toute l'indifférence qu'on a pour lui lui fait hausser les épaules et lui arrache un rictus.
Tant mieux si l'ignore. Tant mieux si on le déteste.
 Il n'a jamais aimé socialiser à double-sens de toute manière. Il préfère être spectateur, regarder de loin. Et il regarde de loin. Il dupe et roule ici et là, place un petit mensonge, une fausse preuve, une rumeur, peint les nuages de l'orage, et lorsque le tonnerre se met à gronder, ouvre son parapluie et apprécie la scène. C'est tellement plus palpitant, de regarder les acteurs depuis les coulisses. Flynn embrasera les torches, mettra le feu à Rome, et rira devant le brasier. Juste parce qu'il en a envie. Juste parce qu'il s'ennuie. Et il volera vos maisons et marchera sur vos cadavres jusqu'à son trône en papier mâché. Il vous tuera tous, dès qu'il aura trouvé le bon moment, comme un loup guettant sa proie entre les branchages, dont on n’aperçoit que les yeux luisant à travers les ténèbres. Et une fois qu'il aura tué tout le monde il deviendra roi. Et une fois roi il règnera sur son royaume vide. Il tourne en rond Flynn, trompeur et patient, attenant son heure de gloire, son coup d'état, comme le sale arriviste ambitieux qu'il est. Et ça non plus, ce n'est un secret pour personne. Mais qui s'inquièterait d'un gamin étranger et beau-parleur dont la réputation est déjà pire que mauvaise? Alors on tourne les talons, on s'écarte, on s'en fiche. Et on ne voit pas les yeux du loups dans sa forêt.
Trop dangereux pour être ignoré.
Trop insignifiant pour être éliminé.
 C'est dans ce paradoxe qu'oscille l'existence de Flynn. On préfère ne rien avoir affaire avec lui, on refuse de lui faire confiance. Et pourtant il est encore là. Comme une araignée au plafond qu'on hésite à éliminer, puis on se ravise en disant qu'elle ne fait du mal à personne, et on la laisse dans le coin du salon, tisser sa toile.
Flynn tisse sa toile, lui aussi. Dollar par dollar, sourire par sourire. De ses coulisses, il apprend les faiblesses, les envies, les relations, essaie d'en tirer le meilleur qu'il puisse. Provocation, chantage, menace, il est aisé de manipuler l'humain. La connaissance, c'est le pouvoir. Le pouvoir, ce n'est rien de moins que ce qu'il veut. Et tout ceci n'est que plus de raisons de le détester.
 Il est fier, Flynn. Beaucoup trop. Ses défaites ne sont pas inexistantes, mais systématiquement niées, et sont une de ces rares choses qui puissent le mettre de mauvais humeur. Tout en restant calme.
Car son orgueil n'a d'égal que son sang-froid légendaire. Flynn déteste les gens impulsifs au sang chaud en règle général, les trouve stupides et inintéressants et trop prévisibles. Une tête bien posée et gardée au frais vaut mieux pour lui que toutes les armes du monde et il se tient strictement à ce principe. Analyser la situation est le meilleur moyen de s'en sortir. Et fuir aussi. Parce que non, Flynn ne brille pas par sa bravoure, ni sa maturité, et il partira en courant en vous tirant la langue.
 Et il joue sa vie à la roulette russe, parie sur tout ou rien et double la mise, de toutes les façons possibles, et quand la fin et la victoire discutent de son sort, c'est dans ces moments-là qu'il se sent vraiment vivant.
 Oh qu'il est bon d'être le méchant de l'histoire! De voler la glace des enfants, de faire chanter les patrons, de voler les sacs à main, de jeter des pierres aux pigeons et de chercher à énerver plus qu'à plaire, se montrer mortellement arrogant, et hypocritement poli. De taper volontairement sur le système de tout le monde en faisant exprès d'être là au mauvais moment, de poser les mauvaises questions, de révéler les secrets des autres, de jouer les effarouchés et les gentils, de militer contre la guerre au Vietnam de la façon la plus hypocrite qui soit juste pour échauffer les nerfs de ceux qui le connaissent et de s'offusquer lorsqu'on doute de ses nobles intentions. Si on lui disait qu'il était de la pire espèce et qu'il n'y avait rien de bon en lui, il ne le prendrait qu'en compliment.
Pourtant dans la vie, jamais rien n'est noir ou blanc, et Flynn, même lui, a ses propres nuances de gris.
 Il a ses raisons Flynn, d'être comme ça. On en a tous. Il a sa sœur à sur-protéger, ses dettes à rembourser, sa vie à préserver.
N'allons pas lui chercher des excuses, n'allons pas nous mentir en disant qu'il cache sous toute cette moisissure un petit cœur chaud et triste qui ne demande qu'à ce qu'on l'accepte comme il est. Il n'est pas aussi gentil. Il ne rend pas de service sans attendre quelque chose. Il ne sauve pas la veuve et l'orphelin mais tranche leurs gorges pendant leur sommeil. Il ne pense qu'à lui et sa famille réduite.
Mais même lui, il est capable d'aimer, certaines choses, d'une certaine façon.


RANDOM FACTS
• Met trois heures à choisir comment s'habiller
• S'incruste souvent aux fêtes ou aux groupes de conversation et à l'air tellement naturel qu'on met un bout de temps avant de le remarquer et de le virer
• Sourit 85% du temps
• Cuisine plutôt bien et fais presque toutes les tâches ménagères chez lui, ce qui est pourtant difficilement concevable à l'époque.
• Est très endetté et hésite constamment entre liquider sa dette et liquider son banquier.
• Aime bien prendre des photos des gens. Et de lui. Et de lui et des gens (qui ne sont pas consentants pour poser.)
• Quand ça sœur l'ignore il boude et quand elle l'envoie balader il va déprimer tout seul dans un coin. Ça brise le mythe.
• Menace les petits-amis de sa sœur de mort dans des lettres anonymes signées.
• Si il avait vécu à notre époque Flynn serait sûrement un de ces mecs qui spamme tout le monde de demandes d'amitié sur FB et se fait recaler à chaque fois, qui se photobomb dans vos selfies pour faire chier.

   
TAILLE - 1m89
   POIDS - 75kg
   CORPULENCE - Svelte
   CHEVEUX - Noirs, courts, tirés sur sa droite
   PEAU - Mate
   YEUX - Noirs, en amande
   STYLE - Formel, costume, mocassins et polo le dimanche
   PARTICULARITÉ - atouage tribal sur l'épaule droite
feat. kuroo tetsurou ; Haikyuu!!

   Aspirin, dix-huit ans, fac de droit anglais, et je prend mes mcflurry kit kat caramel, le forum est mucho perfecto je vous aime ♥♥♥

   
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Sébastien Winchester
Sébastien Winchester
true men wear pink
jetons : 140
feat. : rivaille - shingeki no kyojin ; irl : erika linder
AUTRES COMPTES : stan weasley
liens utiles : www présentation ; www rs ; www boîtes aux lettres
pouvoir : aucun
citation : laugh and the world laughs with you, weep and you weep alone. ©old boy
jukebox : old boy - the last waltz
crédit : ©matt

fondateur - chef d'Atlas
fondateur - chef d'Atlas

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Re: everything i do is bittersweet ღ flynn ; fini rédigé Lun 27 Avr - 23:58


validation !
――félicitations ! ――

fdjkbjfdkgn un personnage d'origine mexicaine c'est vraiment TOP ! J'adhère à fond et je ne regrette pas du tout d'avoir cédé Kuroo pour ton personnage ! La fiche est super bien écrite et l'histoire me fait vraiment de la peine, j'espère que ça ira avec la petite Ash même si elle a du mal avec les majuscules on dirait XDDDD ! (et puis ce pavé que tu as pondu dans ton mental, un truc de dingue) +20 points, bon jeu !


Liens utiles :

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