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 never watch the stars there's so much down here △ jezabel (100%)

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Jezabel
Jezabel
jetons : 15
feat. : elizabeth - bioshock / megan fox (irl)
AUTRES COMPTES : delilah mercury
pouvoir : aucun
citation : PUTE (salut seb)
jukebox : salzburg - worakls
crédit : © jane ♥

admin - employée de turner studios
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never watch the stars there's so much down here △ jezabel (100%) rédigé Mar 5 Mai - 3:59


TO THE HAPPY FEW
―― informations basiques ――
——— attaque ———
★★★★★★★★★



——— défense ———
★★★★★★★★★★



——— popularité ———
★★★★★★★★★★
SURNOM - jezabel
AGE - 22 printemps
NÉ(E) LE - 31 mai
NATIONALITÉ - américaine
ORIENTATION SEXUELLE - hétéro
NIVEAU FINANCE - convenable
SITUATION MARITALE - en couple

GROUPE DESIRE - turner studios
RÔLE/POSTE/METIER - artiste sponsorisée ; jezabel est actrice, principalement dans des seconds rôles sur petit écran, & danseuse de cabaret pour arrondir les fins de mois.
―― qui suis-je ――
HISTOIRE - Jezabel. Trois syllabes qu'on te susurre ou qu'on te crache à la figure, ça dépend des jours - ça dépend des gens, aussi. Ca n'a pas toujours été ton nom, pourtant ; t'es née Jessica Campbell dans une banlieue miteuse de Washington, puis t'avais abandonné c'nom là - dans le même temps, t'avais abandonné ta famille puis tes études, aussi ; comme s'il t'suffisait de changer de nom & de couleur de cheveux pour échapper à c'que t'était au fin fond de tes entrailles - rien de plus qu'un échec cuisant.

T'étais douée à l'école, pourtant ; mine de rien, t'en branlais pas une & dieu sait que ça avait le don d'agacer tes petits camarades de classe - ils te faisaient crasses sur crasses jusqu'au jour où t'as commencé à sortir de l'enfance ; ça se retournait sur son passage & ça se serait damné pour tes courbes naissantes tout comme pour ton joli minois. C'est tout ce à quoi t'as eu droit, ces années-là ; pas d'potes pas de fou-rires dans les couloirs pas d'confidences à mi-voix - juste quelques têtes qui se dévissaient sur ton passage & une poignée de compliments mal tournés. T'as continué sous l'insistance de tes professeurs plus que par réelle envie ; toi, ce qui te faisait rêver, c'était les histoires d'amour comme on en voit qu'à la télé & toutes ces paillettes dans les magazines, ces success-story sur papier glacé qu'on vendait aux gamines crédules de ton genre - & ça marchait du tonerre. Tu prenais la pose devant ton miroir, tu découpais l'visage souriant de tes idoles dans les journaux ; & tu te disais qu'un jour ce serait ton tour, qui sait - demain dans dix jours dans dix ans.

Tu t'es réveillée à tes vingt ans en faisant l'constat surprenant qu'au fond, personne ne t'avait jamais vraiment aimée. On avait aimé tes cheveux au vent au coin d'un boulevard, ta silhouette derrière les vitres sales du métro puis tes courbes sur la banquette arrière & peut-être même ton rire le temps d'une nuit - pourtant, personne ne pouvait vraiment s'targuer d'avoir gratté sous la surface ni d'avoir chéri ce que t'étais vraiment ; une gamine un peu perdue sous tes si jolis airs de femme. Tu t'étais demandée qui aurait pris la peine de s'traîner jusqu'à ton enterrement en cas de besoin ; y'avait bien ta mère, mais ce serait plus par convenance que par réelle sollicitude - le reste du monde, lui, continuerait joyeusement de tourner. L'air de rien, ça t'avait rendue un peu triste - au fond de toi, t'avais toujours eu envie que les gens t'aiment, qu'ils t'admirent qu'ils t'envient qu'ils t'adorent ; alors un d'ces matins tranquilles comme on en fait des dizaines, tu t'es pointée dans la cuisine & entre deux bouchées de cornflakes, t'as lâché que tu te barrais, comme ça, que t'allais tenter la grande aventure à Vegas. Ta mère, ça l'avait bien fait rire - sans doute moins le soir-même quand elle avait trouvé ta chambre vide & une lettre sur la table basse du salon.

T'as sauté dans le premier bus, le coeur & le bagage léger - tu te voyais déjà fouler le tapis rouge sourire à la caméra ; & tu te doutais pas que des gamines dans ton genre, la ville en avait vu défiler des millions - oh, ça non. T'étais persuadée que t'allais percer & tu les regardais, tous ces gens ordinaires entassés sur les banquettes, en te souvenant à quel point t'étais mieux qu'eux - oh, vraiment ? Vraiment, Jess ? Qu'est-ce que t'avais de plus que ce père de famille usé jusqu'à la moelle, que cette petite blonde décolorée au décolleté bien trop plongeant pour être honête - de l'espoir ? Tu te doutais pas une seconde que c'était l'espoir, ce sale espoir qui avait mené leur barque, le vent en poupe jusqu'à ce qu'un bref revers du sort ne les fracasse contre les rochers - mais fallait pas que tu t'en fasses, va ; t'apprendrai bien assez vite.

Il t'a pas fallu bien longtemps pour réaliser qu'ça fonctionnerait pas, ton joli petit plan - y'a que dans les films qu'il suffisait d'un joli minois pour mettre le monde à ses pieds sans se réclamer de rien ni de personne. Ici, ceux qui avaient su se tailler la part du lion par eux-même ici n'avait eu besoin que de deux choses, de l'argent & un flingue - or si tu ne possédais ni l'un ni l'autre, tes yeux de biches allaient vite suffir à te les servir sur un plateau. Au diable tes désirs d'indépendance, au diable ta fierté si c'était pour travailler fièrement dans un fast-food de seconde zone - à vingt ans, t'avais gaiement vendu ton âme au diable & jeté ta dignité aux chiens ; tu te traînais jusque dans les casinos les plus populaires vêtue d'une robe un peu trop courte, tu trébuchais hasardeusement sur le passage du type qui venait de rafler la mise à la table, & puis tu te réveillais le lendemain matin la bouche en coeur & l'air éperdument amoureuse - nul besoin pour l'heureux élu de savoir que tes faveurs se portaient uniquement sur son portefeuille ou son carnet d'adresse. & ça fonctionnait plutôt bien - six mois & une poignée de recontres fortuites plus tard, t'aposais ta signature au bas d'un contrat chez Turner.

C'est à ce moment-là que t'as décidé de changer de nom - des Jessica, y'en avait à la pelle à Vegas, & t'avais pas envie d'être n'importe qui ; t'es devenue Jezabel sur un coup de tête & tu l'es restée depuis. Jezabel, c'était cette jolie fille un peu frivole qui gagnait sa vie en dansant en petite tenue dans les cabarets - rien de plus qu'un objet de convoitise animé d'un désir maladif de se hisser au dessus de la masse. T'avais les moyens d'assumer ton train de vie, désormais ; ça n't'empêchait pas d'aller t'égarer dans le lit d'un ou deux garçons de bonne famille quand l'envie te prenait de faire des folies. Tu t'en fichais : au fond, t'avais plus besoin de personne, tu t'accordais juste une petite faveur de temps en temps. T'es devenue Jezabel l'insolente, celle qui rit de tout & qui pleure pour un rien - à vingt ans, t'avais l'impression d'être à ton apogée & t'accumulais les frasques parce que tu sentais qu'le déclin était proche - t'avais envie de goûter à tous les bonheurs avant qu'ils ne te filent entre les doigts.

& puis un d'ces soirs de novembre tout ce qu'il y a de plus ordinaire, il était rentré dans ta vie dans un genre de courant d'air - Swan, rien de plus qu'une silhouette insignifiante au beau milieu d'une foule sentimentale rassemblée on n'sait plus trop bien pourquoi ; un gamin qui t'avait regardé quelques secondes de plus que les autres - quelques secondes trop. Swan, c'était ce regard qui s'attarde vos mains qui se frôlent & vos souffles qui s'entremêlent - deux coeurs qui battent à l'unisson le temps d'un soir, sans raison apparente si c'n'est la volonté commune de dammer le pion à toutes vos idées noires, juste pour une nuit. De confidences en confidences, t'avais fini par l'apprécier ; à tel point qu'au lieu de t'enfuir comme une voleuse sitôt le matin venu, t'avais attendu qu'il se réveille. T'avais envie de lui demander des tas de choses - ce qu'il foutait là ce dont il rêvait la nuit puis surtout pourquoi il avait l'air si triste ; & tu t'étais surprise à t'intéresser à autre chose qu'à ta misérable petite personne, pour la première fois depuis trop longtemps. Swan, un coup du sort - le grain de sable qui venait faire dérailler ta mécanique du coeur.

Vous aviez parlé, ce matin là - autour d'un café puis d'un verre puis de plus rien, juste lui toi & tous ces gens qui vous passaient devant sans comprendre l'importance de ce qui s'tramait sous leurs yeux - comment auraient-ils pu ? Puis était venue l'heure du départ, & dieu sait qu'tu serais restée si t'avais pu ; mais fallait bien que tu te tires, ne t'en déplaise. A la hâte, t'avais griffoné une adresse sur le rabat d'un bouquin qui traînait à portée de main ; trois mots dans une écriture maladroite en guise de promesse - j't'attendrais là quand t'en auras marre de tout ça t'avais murmuré en accompagnant le tout d'un geste vague. & t'avais tenu parole - six mois durant.

Il avait débarqué un beau matin, sans que tu ne t'expliques trop ni pourquoi ni comment - t'avais ouvert ta porte & il s'tenait là sur le pallier à danser d'un pied sur l'autre ; on lisait dans ses yeux la crainte d'être en train d'faire la pire connerie de sa vie, & sur le moment t'avais pas pu t'empêcher de penser que c'était peut-être le cas. Il faisait tâche, ce gosse - trop bien, trop propre sur lui pour s'fondre dans la masse des âmes errantes de Vegas. Tu te doutais bien qu'il aurait pas la force de lutter, que cet enfer béant finirait bien par l'engloutir lui aussi ; mais ce jour-là t'as eu ni l'envie ni l'courage de le renvoyer d'où il venait - bien au contraire, tu l'as serré dans tes bras & t'as juré que tu le laisserais plus jamais repartir. C'était peut-être la façon dont il te regardait, ou bien celle qu'il avait de te murmurer des mots qui n'appartenaient qu'à vous ; c'était peut-être ce besoin égoïste de te sentir aimée désirée nécessaire, qui sait. Swan, ça faisait deux semaines qu'il était là deux semaines que vous partagiez votre petit bonheur en équilibre instable deux semaines que tu lui lançais des regards à la dérobée, sans jamais savoir à quoi t'en tenir ; Swan, t'arrivais pas vraiment à déterminer s'il allait te sauver ou te mener droit à ta perte.
MORAL - T'as toujours eu envie que les autres t'aiment - sans doute parce que t'étais incapable de l'faire toi-même. T'aimes séduire, être le centre de l'attention ; & dieu sait que ça ne t'a pas toujours apporté la sympathie de la gente féminine, bien au contraire - mais tu t'en fiches, Jez ; après tout, t'as toujours été un électron libre & le peu de relations que t'entretiens avec le reste du monde sont on ne peut plus intéressées - qu'il s'agisse d'argent ou de popularité. En société, t'es l'archétype même de cette fille un peu trop maquillée qui rit un peu trop fort - tu prends un malin plaisir à avoir l'air bien plus idiote que ce que tu l'es réellement, à donner aux autres l'impression d'avoir l'avantage ; ça te plaît, qu'on te sous-estime, ça t'permet de faire un meilleur effet quand t'abandonnes tes mascarades. Manipulatrice, tu l'es sans doute - tu caches toutes tes mauvaises intentions derrière un sourire mielleux & un battement de cil ; & ça marche la plupart du temps. Tu te plais à renvoyer l'image d'une imbécile heureuse, & ça empêche souvent les gens d'se rendre compte que t'es qu'un monstre d'égoïsme, prête à piétiner père & mère pour gravir les échelons - la vérité, c'est que t'es impitoyable, envers les autres comme envers toi-même. Le pire, c'est que t'as bien conscience qu'elle est vaine, ta misérable petite quête de gloire - mais c'qui est plus triste encore, c'est que tu sais pas quoi faire d'autre de ta vie ; alors tu t'occupes en jouant sur petit écran le rôle de toutes ces femmes que tu n'seras jamais ; de la femme forte à l'épouse aimante en passant par la jeune ingénue, tous les costumes te vont sans qu'aucun ne soit réellement à ta taille. C'est bien ça, ton problème, Jez ; tu passes ta vie à prétendre, à la ville comme à la scène - entre l'être & le paraître, t'as bien vite fait ton choix. Y'a que Swan qui a eu l'occasion d'entrevoir les fêlures, de s'rendre compte à quel point t'étais fausse - mais tu l'soupçonnes de pas vraiment avoir fait attention, & c'est peut-être bien mieux comme ça. Est-ce qu'il voudra toujours de toi & de tes sourires candides, est-ce qu'il prêtera encore l'oreille à tes éclats de rire - qu'est-ce qu'il en pensera, le pauvre gamin, le jour où il se rendra compte que t'es rien de plus qu'une putain d'imposture ?

TAILLE - 177CM
POIDS - 61KG
CORPULENCE - svelte
CHEVEUX - noirs
PEAU - albâtre
YEUX - bleus
STYLE - chic & raffiné
PARTICULARITÉ - son rouge
à lèvres, carmin & généreusement
appliqué, est en quelque
sorte sa marque de fabrique
feat. elizabeth - bioshock infinite (burial at sea)

salut salut je suis sarah j'ai 18 ans depuis trois heures j'aime bien les soldes les pommes de terre & la macroéconomie ne t'en déplaise éphy j'suis un peu en guerre contre la ponctuation & les majuscules mais j'me soigne j'ai un accent & des expressions qui font qu'on me juge mais j'ai appris à vivre avec & j'aime swan du plus profond de mon coeur ps méfiez vous de james winchester c'est un être vicieux & dangereux vous verrez

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James Winchester
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Patate douce
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feat. : Noctis Lucis Caelum
pouvoir : Contrôle de l'espace
chef d'hélios
chef d'hélios

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Re: never watch the stars there's so much down here △ jezabel (100%) rédigé Mar 5 Mai - 8:01


J'aurais du grandir James putain JE LE SAVAIS
SINON J'AI HÂTE DE RP AVEC TOI LOVE ❤️
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Keenan Malcolm
Keenan Malcolm
never watch the stars there's so much down here △ jezabel (100%) 148791122
jetons : 94
feat. : Alice Liddell - Alice in wonderland (disney)
AUTRES COMPTES : Nope
pouvoir : Contrôle du monde des rêves
citation : Oh Dear...
crédit : © Cheshire

simple citoyen
simple citoyen

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Re: never watch the stars there's so much down here △ jezabel (100%) rédigé Mar 5 Mai - 14:04


Jezabel a écrit:
ps méfiez vous de james winchester c'est un être vicieux & dangereux vous verrez

never watch the stars there's so much down here △ jezabel (100%) 665826741
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Zadig O'Brian
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feat. : raphael saadiq
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employé(e) de turner studios
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Re: never watch the stars there's so much down here △ jezabel (100%) rédigé Mar 5 Mai - 20:39


J'aime ton personnage.
Sais-tu que écrire sans majuscule revient à une forme de timidité ?
héhéhéhéhhé. Bienvenue.
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Jezabel
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AUTRES COMPTES : delilah mercury
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Re: never watch the stars there's so much down here △ jezabel (100%) rédigé Mer 6 Mai - 3:39


ces quatre centimètres de la discorde feront pas de mal à ton complexe d'infériorité james va
keenan je te jure que tu devrais te méfier on le voit jamais venir mais il est fourbe i swearrrrrr to god
& MERCI zadig le tien a l'air de respirer l'swag aussi & puis team violets ftw (merci pour la psychanalyse aussi il va falloir que je règle ce problème de MAJUSCULES)

& j'ai fini à une heure tout à fait honorable allez la bise
& en plus je m'autovalide
je suis quelqu'un de plutôt swagé
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Re: never watch the stars there's so much down here △ jezabel (100%) rédigé


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